14 mars 2007
" Tout cela ne vaut pas le terrible prodige De ta
" Tout cela ne vaut pas le terrible prodige
De ta salive qui mord,
Qui plonge dans l'oubli mon âme sans remords,
Et, charriant le vertige,
La roule défaillante aux rives de la mort ! "
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, dernière strophe du Poison
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